Depuis notre plus jeune âge, nous sommes programmés pour réussir. A l'école, au travail, dans le sport, la musique et tous les autres domaines dans lesquels nous évoluons, on nous éduque à gagner ou au minimum à toujours faire mieux. On ne se contente jamais de ce que l'on a car nous voulons toujours plus, toujours mieux. Nous avons aujourd'hui avec ce mode de fonctionnement beaucoup de jeunes et d'adultes "éternels insatisfaits".

Dès tout petit nous devons avoir les meilleurs notes possibles, les meilleurs appréciations, nos parents souhaitent pour nous que nous fassions les études les plus durs pour avoir un maximum de reconnaissance et avoir le meilleur métier possible. Ces idées peuvent être bonnes mais nous oublions dans cet état d'esprit qu'il est important d'être heureux, de prendre du plaisir dans ce que l'on fait, d'être satisfait de ce que l'on a et ce que l'on fait. Cela aide à voir le chemin parcouru et les progrès réalisés.

La psychologie met en avant 3 besoins fondamentaux psychologiques pour être heureux :

-le besoin de compétence

-le besoin d'autonomie

-le besoin d'appartenance sociale

Il nous est en aucun cas parlé de performance dans ces besoins psychiques de l'humain pour accéder au bonheur. Nous nous construisons sur nos représentations et nos croyances. C'est très français de montrer du doigt l'échec là où d'autres pays encouragent les personnes à essayer plus qu'a réussir.

Rappelez-vous comment fonctionne l'apprentissage mental, il est nécessaire d'échouer pour y arriver ensuite. Un bébé par exemple qui apprend à marcher va tomber un certain nombre de fois avant de rester debout et ensuite va tomber un grand nombre de fois avant d'arriver à marcher. Imaginez si celui-ci à sa première chute se disait : "tant pis je vais rester à 4 pattes toute ma vie, je n'ai pas réussi" ce serait très dommageable. Pourtant c'est souvent ce que nous faisons avec nos difficultés et problèmes, il suffit d'une erreur pour arrêter d'essayer. En programmation neurolinguistique (PNL), il y a un élément intéressant lorsque l'on observe une personne c'est le nombre de tentative qu'il s'autorise à faire avant de stopper ses efforts. Nous remarquons bien souvent qu'il suffit de peu d'échecs (3-4 généralement au maximum) pour qu'une conclusion soit fait "je n'y arrive pas et je n'y arriverai jamais".

On peut tous travailler notre relation à l'échec. Le coaching mental et l'hypnose aident énormément sur ces aspects qui s'appuient sur "l'estime de soi", "la confiance en soi", "la gestion des émotions", "la résilience" et notre rapport à la réussite.

 

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